22/01/2009
Socrates veux une justice rapide dans l’affaire Freeport
Le premier ministre portugais, José Socrates, a demandé aujourd'hui, depuis l’Espagne, que les autorités judiciaires puissent "faire rapidement leur travail" à l'égard de l’enquête Freeport, rappelant que l’affaire est apparue pour la première fois au cours de la campagne électorale de 2005 et "qu’il revient maintenant, quand vont être disputées de nouvelles élections".
José Socrates à réagi ainsi aux informations, dans le cadre de l’affaire Freeport, de que la Police Judiciaire et le Département Central d’Investigation et Action Pénale (DIAP) ont effectué des fouilles dans a la maison et aux bureaux de son oncle, Júlio Carvalho Monteiro.
Le premier ministre, affirmant qu'il ne commente pas, ni connaît pas les activités des autorités judiciaires, a dit, en sortant du Sommet ibérique à Zamora, qu’il s’attend à que les autorités "fassent leur travail et qu’ils le fassent rapidement".
L’oncle maternel du premier ministre portugais, en déclarations à l’hebdomadaire portugais SOL, a révélé que les autorités ont appréhendé des documents concernant quelques "anciens offshores", mais également la comptabilité de sa société immobilière de Setúbal – ISA et un courriel concernant le licenciement de la surface commerciale Freeport.
L’affaire Freeport, ou les autorités britanniques ont souhaité avoir la même coopération qu’ils avaient obtenue dans l’affaire Madeleine McCann, concerne la construction d’un énorme espace commerciale à Alcochete, autour duquel existent des soupçons de corruption.
Le permis de construction, initialement refusé, car il ne respectait pas les accords environnementaux existants entre le Portugal et l’Union européenne, a finalement été accordé après la modification de la Zone de Protection Spéciale de l'Estuaire du Tage (ZPET), établie par un décret-loi, trois jours avant les élections législatives de 2002.
Selon le premier ministre, le licenciement du projet Freeport "a été fait en obéissant à toutes les normes et exigences légales", soulignant qu’il sait de quoi il parle, car il était le ministre de l’Environnement à l’époque des faits : "Bien qu'il n'a pas participé dans le licenciement, le Ministère de l'Environnement l'a fait en obéissant à toutes les normes et exigences environnementales. Je l’ai dit en 2005 et je le dis maintenant", a dit José Socrates.
à suivre
17:20 Publié dans Freeport - Madeleine McCann | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : josé socrates, freeport, pj, diap, júlio carvalho monteiro, alcochete, montijo
Commentaires
Tssss tssss tssss
Ca sent pas bon tout ça !
Écrit par : marie(f) | 22/01/2009
Hier , j'ai oublié : c'est évident qu'il veut une justice rapide ...les élections approchent a grands pas ,faudrait pas que ça traine jusque là
Écrit par : marie(f) | 23/01/2009
...........Le premier ministre portugais, José Socrates, a demandé aujourd'hui, depuis l’Espagne, que les autorités judiciaires puissent "faire rapidement leur travail"........
.......... l’affaire est apparue pour la première fois au cours de la campagne électorale de 2005 et "qu’il revient maintenant, quand vont être disputées de nouvelles élections"..........
JUSTICE VITE !!!! TRÉS VITE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Écrit par : Maria Lopes | 23/01/2009
Bonjour à tous
Hiiiiiii! J'espère que celui-là ait fait le transfert d'adresse….
Écrit par : Lena2 | 23/01/2009
Qu'est-ce que cela a avoir avec Maddie?
Écrit par : tatiana | 27/01/2009
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